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Édulcorants artificiels; le Low-down sur les aliments faibles en calories et en sucre
Les édulcorants sont utilisés pour remplacer le sucre pour 2 raisons ; ils ont moins ou pas de valeur calorifique, et ils sont moins chers à produire. Les édulcorants artificiels représentent une industrie d'un milliard de dollars impliquant certains des plus grands noms du jeu.

Vous les trouverez cachés dans des milliers de produits, notamment ; produits pour diabétiques, chips, gâteaux, biscuits, snacks salés, boissons gazeuses, courges, yaourts, chewing-gums, plats cuisinés, produits diététiques, produits destinés aux enfants (pauvres en sucre ou pour les dents), aliments faibles en glucides, puddings, céréales, shakes, chocolat chaud, vinaigrettes, laxatifs, desserts à la gélatine, menthes pour l'haleine, comprimés de vitamines et médicaments pour enfants et adultes. Vous pouvez également acheter des édulcorants artificiels dans des boîtes et des pots à utiliser comme substitut du sucre pour la table et la pâtisserie. Vous les trouverez dans de nombreux produits étiquetés « à faible teneur en sucre » ou « sans sucre ajouté ».

Les éléments suivants sont tous des édulcorants artificiels ; (Parfois, les aliments sont étiquetés « contient [une source de] phénylalanine » et certains portent des noms de marque tels que NutraSweet, Canderel, Equal, Splenda et Benevia, ainsi que d'autres).

o Acésulfame K; il y a eu des doutes dans le passé sur l'innocuité de cet additif, car il a été lié dans des tests sur animaux à des tumeurs, une leucémie et des problèmes respiratoires. Il est actuellement accepté comme sûr. En raison de son arrière-goût amer, il est souvent utilisé avec l'aspartame, qui peut être combiné en si petites quantités qu'il n'est pas nécessaire de l'identifier sur l'emballage.

o Saccharine E954; une fois transporté l'avertissement aux États-Unis "L'utilisation de ce produit peut être dangereuse pour votre santé. Ce produit contient de la saccharine qui a été déterminée pour provoquer le cancer chez les animaux de laboratoire". Il a depuis été démontré que les expérimentations animales n'ont pas prouvé le même effet sur le corps humain et l'avertissement a été supprimé. La saccharine est toujours liée à divers problèmes chez les personnes sensibles tels que l'eczéma, l'asthme, les éruptions cutanées et la perte de sensibilité dans les extrémités. Le programme national de toxicologie du gouvernement américain répertorie la saccharine comme un « cancérigène anticipé » (produit chimique cancérigène). L'American Medical Association a recommandé de limiter la consommation de saccharine chez les jeunes enfants et les femmes enceintes. J'ai remarqué que c'était un ingrédient dans le dentifrice de mes enfants.

o Sucralose ; également connu sous le nom de marque Splenda, est fabriqué en traitant le sucre avec du chlore. Les tests sur les animaux ont montré des dommages aux organes, des problèmes de croissance et une réduction du nombre de globules blancs. Ces tests ont été rejetés par les fabricants comme étant peu concluants ou insuffisants. Des centaines de tests industriels ont montré la sécurité des produits. Dix d'entre elles ont été menées sur des sujets humains sains, mais aucun test n'a été réalisé sur les effets d'une consommation à long terme.

o Sorbitol, Manitol, Isomalt, Xylitol, Lactitol ; les alcools de sucre qui peuvent provoquer des réactions chez les personnes sensibles, telles que; flatulences, diarrhée et dommages aux organes s'ils sont consommés en grande quantité.

o Aspartame E951 (accrochez-vous à vos chapeaux) ; un cousin chimique largement utilisé du MSG, également connu sous le nom de NutraSweet et Canderel. Une fois prétendument répertorié par le Pentagone comme agent de guerre biologique, et testé pour la première fois sur des singes en 1967. Sur 7 nourris d'aspartame, un est mort et 5 autres ont subi des crises. Des recherches ultérieures à l'Université de Washington ont montré que l'un des principaux constituants de l'aspartame produisait des lésions cérébrales chez les bébés souris. En 1998, l'Université de Barcelone a mené des expériences montrant que l'aspartame se décomposait dans le corps pour former du formaldéhyde (une neurotoxine), et d'autres tests en laboratoire à l'université d'État de l'Arizona ont montré que lorsqu'il était chauffé, il se décomposait pour former du méthanol, un autre poison.

Les recherches en laboratoire les plus récentes de l'Université de Liverpool ont mesuré l'effet toxique de l'aspartame sur les cellules nerveuses lorsqu'il était associé à la couleur largement utilisée, le jaune de quinoléine (E104). Les résultats ont montré que la combinaison des additifs avait un effet 7 fois plus important que lorsqu'elle était testée indépendamment. Les additifs ont empêché la croissance et la signalisation normales des cellules nerveuses. Des centaines d'autres expériences ont été menées au fil des ans, et malgré des craintes répétées pour la santé, des recherches, des commissions, des examens, des rapports et des audiences judiciaires, l'aspartame a trouvé sa place dans des milliers de produits. Il existe plus de 90 symptômes documentés associés à l'aspartame, notamment ; maux de tête, étourdissements, problèmes d'équilibre, sautes d'humeur, nausées et diarrhée, convulsions, troubles et détérioration de la vision, éruptions cutanées, fatigue, hypoglycémie (faible taux de sucre dans le sang), dépression, épisodes maniaques, hyperactivité chez les enfants, tumeurs cérébrales, perte de mémoire et décès.

La plupart des plaintes concernent des troubles neurologiques et, en 1994, 78 % des plaintes déposées auprès du système américain de surveillance des effets indésirables étaient liées à l'aspartame. Les recherches menées par l'industrie des édulcorants et la Food and Drugs Administration (FDA) américaine ont toujours montré que ce produit était parfaitement sûr. Les examens de ces études ont allégué que certaines d'entre elles étaient imparfaites, mal menées, déformées et biaisées. Le groupe de soutien pour enfants hyperactifs suggère que l'aspartame soit retiré de la nourriture des enfants.

On croyait que ces édulcorants hypocaloriques et sans calorie aideraient à lutter contre la prise de poids et l'obésité, et ils font partie de l'industrie des régimes alimentaires de plusieurs millions de dollars. Cependant, les États-Unis, qui sont le plus grand consommateur d'édulcorants au monde, ont également les plus gros problèmes d'obésité au monde. On pense maintenant que les édulcorants sont en partie responsables de l'augmentation des problèmes de poids ; ils encouragent les gens à manger de grandes quantités de produits « diététiques » qui sont malsains et souvent encore engraissants. Une recherche publiée dans l'International Journal of Obesity révèle que les édulcorants artificiels peuvent en fait favoriser l'obésité en faisant croire au corps que les aliments contiennent peu de calories. On pense également que les édulcorants tels que l'aspartame incitent le corps à avoir envie de sucre et d'autres glucides.

Je pense que vous pouvez voir maintenant qu'il s'agit d'un sujet délicat et qu'il est difficile de vraiment savoir à quel point les édulcorants sont sûrs ou efficaces. Mais, il y a un fait scientifique défini disponible ; le sucre est sans danger. Utilisez en quantités raisonnables, restez actif et brossez-vous bien les dents.

Sucrez les aliments avec de la cassonade non raffinée, du miel, du jus de pomme ou de la purée de pomme. Comme pour le sel, vous pouvez recycler votre cerveau pour apprécier le goût de moins de sucre. Encouragez les enfants dès leur plus jeune âge à boire de l'eau plutôt que des boissons sucrées et sucrées, offrez beaucoup de fruits et légumes naturellement sucrés comme les carottes, les poivrons et les courges. Si vous êtes préoccupé par les effets des édulcorants sur la santé, lisez attentivement le dos de l'emballage, préparez votre propre nourriture et offrez aux enfants du chocolat de bonne qualité plutôt que des bonbons douteux. Essayez des friandises et des collations biologiques, car elles ne peuvent pas contenir d'édulcorants artificiels ni d'autres agents nocifs.

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